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Seminis

Mosaïque du concombre

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Agent pathogène

Virus de la mosaïque du concombre (CMV)

Vecteur

Plusieurs espèces de pucerons

Répartition géographique

Mondiale

Symptômes

Toutes les cucurbitacées sont sensibles au CMV, mais la pastèque est rarement touchée. Les symptômes peuvent varier selon l’hôte, l’environnement et l’âge de la plante au moment de l’infection. Les symptômes apparaissent d’abord sur les feuilles plus jeunes, qui s’enroulent vers le bas, se couvrent de tâches, se déforment et rapetissent. Les plantes peuvent devenir chétives, avec des inter-nœuds raccourcis, qui donnent aux feuilles plus jeunes une apparence de rosette. Si l’infection a lieu après la floraison, il peut ne pas y avoir de diminution de la croissance, mais les fruits peuvent être couverts de tâches et déformés.

Concombre : Les jeunes plantes présentent rarement des symptômes durant les quelques premières semaines de croissance, mais les symptômes peuvent apparaître une fois que les plantes commencent à pousser vigoureusement. Les feuilles se couvrent de tâches et se déforment, et les bords s’enroulent vers le bas. Ensuite, il y a une réduction de toute la croissance, ce qui entraîne un nanisme des plantes. Des bordures chlorotiques, qui se nécrosent par la suite, peuvent se former sur les feuilles plus âgées. Les fruits sont souvent difformes, couverts de tâches (vert jaunâtre), verruqueux et de taille réduite. Les fruits infectés peuvent sembler blanchis en raison d’une production insuffisante de chlorophylle.

Melon : Sur les melons, on peut observer un ralentissement sévère de la croissance au niveau des points de végétation. Même si le fruit ne présente pas de symptômes évidents, la qualité globale des fruits est souvent médiocre.

Potiron : Une infection précoce entraîne souvent une mosaïque foliaire sévère. Les fruits peuvent être rendus invendables par les symptômes de la mosaïque.

Courge : Une infection en début de saison peut produire des plantes extrêmement chétives, aux feuilles déformées. Souvent, les pétioles poussent vers le bas ou sont tordus. Les feuilles peuvent aussi avoir une taille réduite. Les fruits peuvent devenir invendables en raison de leur surface très rugueuse. Sur la courge d’été, des zones verruqueuses en relief de couleur jaune apparaissent sur les fruits ; elles sont entourées de zones vert sombre.

Pastèque : Les symptômes foliaires sont souvent légers par comparaison avec les autres hôtes de la famille des cucurbitacées. Il peut y avoir un léger gaufrage des feuilles, avec un jaunissement par endroits.

Conditions favorables au développement de la maladie

Le CMV peut infecter les cultures maraîchères aussi bien en serre qu’en plein champ. Le CMV comporte une grande diversité d’hôtes (plus de 1 200 espèces), ce qui facilite sa survie sur les adventices, les plantes ornementales, et d’autres plantes cultivées. Le mode de transmission primaire est par les pucerons selon le mode non persistant, cependant le virus peut aussi être transmis mécaniquement par le matériel et le personnel. Les chrysomèles du concombre (espèces Diabrotica) se sont aussi avérées transmettre le CMV, mais les pucerons restent le vecteur primaire de la maladie.

Lutte

L’utilisation de la lutte contre les vecteurs (par exemple avec des insecticides, des huiles contre les insectes piqueurs-suceurs) pour gérer le CMV ne s’est avérée que très modérément efficace. Évitez de planter près de cucurbitacées plus âgées et de cultures de plantes vivaces ornementales, qui peuvent servir de réservoirs pour le virus. Pour gérer ce virus, luttez contre les adventices, utilisez des mulchs réfléchissants, enfouissez les résidus de cultures par un labour profond, et jetez le matériel utilisé dans les serres infectées. Mettez en place un programme d’hygiène exhaustif pour le personnel et pour le matériel, afin de minimiser la propagation de la maladie. Les variétés du commerce présentant une résistance constituent le meilleur moyen de lutte contre le CMV. La résistance chez le concombre s’est avérée très efficace à l’échelle mondiale. L’établissement d’une résistance chez d’autres espèces de cucurbitacées n’a pas aussi bien avancé. Chez la courge d’été jaune, la présence du gène du jaunissement précoce (Precocious Yellow Gene) a produit de bons résultats dans la lutte contre l’infection par le CMV. Quelques cultivars de courges transgéniques résistantes sont cultivés aux États-Unis.

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    • Représentée par Benoît Rabilloud, Président du Groupe Bayer en France 
    • Directrice de publication: Lise Lemonnier, Direction de la Communication du Groupe Bayer en France 

     

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